technonlogie de communication
Aujourd'hui, analyses d'images selon les signes plastiques et iconiques vu à la séance précédente, il faut les utiliser pour que cela devienne un réflexe.
1.Affiche pour le collectif contre les expulsions
il s'agit d'une projection d'affiche, on peut voir des pliures.
Signes plastiques :
couleurs : rouge et bleu ternes, désaturées par les niveaux de gris, teintes sombres et niveaux de gris sombres
formes : figure humaine, lignes droites, ligne sous le drapeau pas très horizontal
texture : papier satiné
espace : humain au centre
Signes iconiques :
Le drapeau est un symbole mais aussi un signal car tous le monde réagit à sa vue, pas par sens patriotique mais par notre éducation.
Le corps humain est lui un indice, il exprime le mot expulsion mais sans ce mot la figure humaine pourrait être interprétée comme un danseur de hip-hop mais surtout comme un gymnaste de l'avant-guerre. La lecture de l'image dépend du texte, ce qui pose problème...
2. Affiche contre la violence en île de France :
Signes plastiques :
couleurs : prédominance d'une teinte noire, teinte marron et teinte rouge mise en valeur par sa minorité.
forme : tête humaine à bord perdu, typographie, bulle
texture : papier de bonne qualité
espace : formes arrondies en haut et droites en bas, composition organisée.
Signes iconiques :
Le rouge est un symptôme.
Le visage est à la fois une icône et un symbole, de la jeunesse, la femme et la couleur de peau. Cela conduit à une mauvaise interprétation de l'affiche, qui nous parle trop de la violence discriminative alors que cette campagne publicitaire cible toutes les formes de violences. Ce problème est résolu avec une deuxième affiche, basée sur le même principe mais avec un jeune homme blanc.
1. Photographie d'Eddie Adams à Saïgon, Vietnam
Un vietnamien du sud s'apprète à exécuter un autre vietnamien accusé d'avoir collaborer avec le Vietnam du nord, il y a une très grande tension car le coup de feu n'a pas encore été tiré.
2. Photographie de James Nachtwey au Rwanda
Portrait d'un homme au visage marqué par les cicatrices du génocide.
Lorsque l'on parle d'une photographie, on utilise l'expression "ça a été", ce qui exprime son caractère indiciaire, un simple exemple : la photographie est une preuve pour la justice.
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