Le samedi 22 novembre, nous rencontrerons Philippe Apeloig, à l'occasion du vernissage de son exposition au "mois du graphisme" à Échirolles.
Philippe Apeloig nous livre, dans un document publié par "Gabriele Capelli Editore", les différentes étapes qui l'ont conduit à proposer un logo au musée d'histoire du judaïsme de Paris.
Ce document, dont les feuilles sont présentée en "accordéon", nous fait part des différentes pistes, des repentirs, des mises au point et des arguments pour, au final, proposer une solution viable.
Mais, comme Philippe Apeloig l'écrit : "Tous les détails ont été étudiés et calculés. Et pourtant rien n'est parfait. Sans cesse il a été question de cheminement et d'incertitude. Finalement, la silhouette du chandelier (inversé en noir au blanc) surgit d'une forme qui rappelle celle des pioèces de monnaies, des sceaux et des poinçons. La lumière des sept flammes est présente. Le logotype qui identifie le musée n'est qu'une simple étape de mes recherches, mais pas l'ultime. Certes il reflète l'unité du sujet et sa diversité, mais encore aujourd'hui, je ressens le besoin de perfectionner mon projet, comme si tout au long de ce travail, subsistait une abscence de repères difficile, voire impossible, à combler."
Mais, comme Philippe Apeloig l'écrit : "Tous les détails ont été étudiés et calculés. Et pourtant rien n'est parfait. Sans cesse il a été question de cheminement et d'incertitude. Finalement, la silhouette du chandelier (inversé en noir au blanc) surgit d'une forme qui rappelle celle des pioèces de monnaies, des sceaux et des poinçons. La lumière des sept flammes est présente. Le logotype qui identifie le musée n'est qu'une simple étape de mes recherches, mais pas l'ultime. Certes il reflète l'unité du sujet et sa diversité, mais encore aujourd'hui, je ressens le besoin de perfectionner mon projet, comme si tout au long de ce travail, subsistait une abscence de repères difficile, voire impossible, à combler."
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