Faits divers.
Workshop de Grenoble du 18 au 22 novembre.
Pour raconter une bonne histoire, il faut un élément déclencheur, une étincelle qui met le feu aux poudres de la narration. Anecdote attrapée dans un bistrot, nouvelle insolite entendue à la radio ou bien brève lue dans le journal : ces faits divers constituent le matériau de base de tout narrateur, qu’il soit écrivain, scénariste, illustrateur ou graphiste.
De la même façon, à partir d’un fait divers extrait d’un journal, vous allez réaliser une affiche de film mettant en scène un titre fort et une ou plusieurs images sensées donner envie d’aller voir le film. Il faudra d’abord écrire le résumé d’une histoire, en trouver le titre pour ensuite mettre en scène des images qui y font écho. Autre option du rapport texte / image : l’image animée. Sur le même principe vous réaliserez une mini animation vidéo de 15 secondes minimum (muette ou sonore) comme s’il s’agissait cette fois d’une bande de lancement de film. A l’aide d’un petit appareil numérique simple et sans aucun travail de post-production (la vidéo une fois tournée est terminée, pas de montage, pas de titrages ou d’incrustation après tournage, tout doit être prévu et inclus dans le tournage). Ceci pour permettre à tous d’achever le travail dans le cadre des quatre jours du workshop avec moins de technique, plus de réflexion et d’invention.
Pour tous, le jeu consiste à dégager l’information principale, rédiger un titre fort, l’illustrer, tirer partit du récit et le mettre en scène en travaillant le rapport Typo/Visuel. Tout en se dégageant des typographies préfabriquées, il s’agit de créer des caractères spécifiques, jouant avec le visuel mis en scène.
Nous partons du fait qu’il y a d’avantage d’idées dans plusieurs têtes que dans une seule et que le travail à plusieurs permettra des rencontres et des expériences accrues. Nous vous proposons de former d’emblée des équipes.
Formez des équipes de 3 à 5 personnes, trouvez-vous des complémentarités pour développer ensemble un sujet, chacun ayant son rôle, ses responsabilités et des idées à fournir.
Pour le mardi 18 novembre vous aurez à :
- former une équipe de 3 à 5 personnes ;
- trouver un thème commun ;
- choisir l’option affiche ou animation ;
Liste du matériel à emmener avec soi : Un ordi, un appareil numérique ou une camera vidéo / DV ; du matériel de dessin et de collage, ciseaux, colle, … des magazines ou illustrés à découper ; sans oublier : des Faits Divers glanés dans la presse à sensation dans les journaux ou autres anecdotes propres à générer de bonnes histoires.
Rémi Courgeon & Marc Borgers
Workshop de Grenoble du 18 au 22 novembre.
Pour raconter une bonne histoire, il faut un élément déclencheur, une étincelle qui met le feu aux poudres de la narration. Anecdote attrapée dans un bistrot, nouvelle insolite entendue à la radio ou bien brève lue dans le journal : ces faits divers constituent le matériau de base de tout narrateur, qu’il soit écrivain, scénariste, illustrateur ou graphiste.
De la même façon, à partir d’un fait divers extrait d’un journal, vous allez réaliser une affiche de film mettant en scène un titre fort et une ou plusieurs images sensées donner envie d’aller voir le film. Il faudra d’abord écrire le résumé d’une histoire, en trouver le titre pour ensuite mettre en scène des images qui y font écho. Autre option du rapport texte / image : l’image animée. Sur le même principe vous réaliserez une mini animation vidéo de 15 secondes minimum (muette ou sonore) comme s’il s’agissait cette fois d’une bande de lancement de film. A l’aide d’un petit appareil numérique simple et sans aucun travail de post-production (la vidéo une fois tournée est terminée, pas de montage, pas de titrages ou d’incrustation après tournage, tout doit être prévu et inclus dans le tournage). Ceci pour permettre à tous d’achever le travail dans le cadre des quatre jours du workshop avec moins de technique, plus de réflexion et d’invention.
Pour tous, le jeu consiste à dégager l’information principale, rédiger un titre fort, l’illustrer, tirer partit du récit et le mettre en scène en travaillant le rapport Typo/Visuel. Tout en se dégageant des typographies préfabriquées, il s’agit de créer des caractères spécifiques, jouant avec le visuel mis en scène.
Nous partons du fait qu’il y a d’avantage d’idées dans plusieurs têtes que dans une seule et que le travail à plusieurs permettra des rencontres et des expériences accrues. Nous vous proposons de former d’emblée des équipes.
Formez des équipes de 3 à 5 personnes, trouvez-vous des complémentarités pour développer ensemble un sujet, chacun ayant son rôle, ses responsabilités et des idées à fournir.
Pour le mardi 18 novembre vous aurez à :
- former une équipe de 3 à 5 personnes ;
- trouver un thème commun ;
- choisir l’option affiche ou animation ;
Liste du matériel à emmener avec soi : Un ordi, un appareil numérique ou une camera vidéo / DV ; du matériel de dessin et de collage, ciseaux, colle, … des magazines ou illustrés à découper ; sans oublier : des Faits Divers glanés dans la presse à sensation dans les journaux ou autres anecdotes propres à générer de bonnes histoires.
Rémi Courgeon & Marc Borgers
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